Le repreneur d’une entreprise, notamment d’une entreprise familiale, doit certes disposer de qualités réelles de manager et de gestionnaire, mais il doit aussi – c’est un point trop souvent sous-estimé – partager la culture de l’entreprise qu’il se destine à reprendre. Une reprise d’entreprise, par exemple dans le cadre d’une transmission, ne saurait se comprendre comme une rupture brutale avec les valeurs qui ont prévalu jusqu’alors, et s’expriment bien souvent dans la gouvernance. Continue reading
